Au Théâtre national de Bretagne, qu’il dirige depuis 2017, le metteur en scène reprend, seize après sa création à Boston, sa version à l’os de la tragédie romaine du dramaturge britannique.
Seize ans après sa création à Boston, le metteur en scène Arthur Nauzyciel reprend, avec la troupe originelle, Julius Caesar, l’une des trois tragédies romaines de Shakespeare. Plongée dans les coulisses d’une recréation.
Dans le cadre du dispositif itinérant « Par les villages », la metteuse en scène et son complice dramaturge Simon Hatab embarquent la jeune troupe de la Comédie de Colmar dans une revisite parcellaire de l’œuvre du dramaturge anglais.
Dans son théâtre du canton de Vaud, à quelques encablures de Lausanne, le metteur en scène colombien monte l’une des dernières pièces de Shakespeare, une ode à la magie, à la liberté et au pouvoir des livres.
Le Palais Royal est un beau quartier où le théâtre est roi. C’est entre les colonnes de Buren, cernées par le Ministère de la Culture et la Comédie-Française, que le metteur en scène a installé son spectacle immersif.
Au Théâtre du Peuple à Bussang, la première édition de Julie Delille, nouvelle directrice du lieu, est marquée par la création du "Conte d'hiver" de Shakespeare et la présentation "Des gros patinent bien" de Pierre Guilloux et Olivier Martin-Salvan.
Pour sa première saison, Julie Delille met en scène "Le Conte d'hiver" de Shakespeare. Nous avons rencontré trois artisans de ce spectacle choral : Clément Breton, constructeur décor et régisseur plateau, Véronique Damgé, comédienne amatrice, et Baptiste Relat, comédien professionnel.
Après la Roumanie, Alain Timár propose, cette année, de transposer la célèbre pièce de Shakespeare en Corée du Sud. Un bien beau voyage immobile !
Pour sa première saison en tant que directrice du lieu, la comédienne et metteuse en scène porte au plateau "Le Conte d’hiver" de Shakespeare dans la traduction de Bernard-Marie Koltès. Comme le veulent les usages, cette tragicomédie verra s'entremêler amateurs et professionnels pour le plus grand bonheur des spectateurs.
En s’emparant de l’œuvre maudite de Shakespeare, que beaucoup ne nomment pas par superstition, la metteuse en scène italienne signe une adaptation resserrée et cérébrale. Celle-ci se perd dans un esthétisme sépulcral cependant illuminé par la présence irradiante de Julie Sicard.