De Sylvain Maurice à Clément Hervieu-Léger, en passant par Stanislas Nordey ou Bernard Sobel, le comédien ne cesse de réinventer un jeu tout en délicatesse et intensité. Curieux et avide de nouvelles expériences, il fait sa rentrée théâtrale dans Le temps des fins du prometteur Guillaume Cayet.
éée à la Comédie de Reims, avant d’investir le TNS, la nouvelle création de Pascal Kirsch évoque les tourments de l’âme de Francis Bacon.
Pour célébrer la réouverture du théâtre de Sartrouville, Sylvain Maurice directeur du lieu, propose de redécouvrir deux œuvres phares de son répertoire, deux monologues très différents, issus de sa collaboration étroite et synergique avec le comédiens Vincent Dissez, Réparer les vivants et Un jour, je reviendrai. Dialogue à bâtons rompus avec deux artistes habités. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Sylvain Maurice : On se connaît depuis longtemps. Je l’ai souvent vu joué au théâtre. Nous
Seul sur scéne au Théâtre de Sartrouville, Vincent Dissez, dirigé par Sylvain Maurice, se glisse avec fièvre dans les mots de Lagarce.