À Marseille, le Théâtre des Bernardines ouvre sa saison avec la nouvelle création de la compagnie Les Estivants, C’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule.
Blandine Savetier adapte Un pas de chat sauvage de Marie NDiaye, une histoire de regards blancs sur une existence noire, celle de Marie Martinez, étoile filante du Paris de 1850.
Aux Bernardines, Marie Vauzelle s’empare de Maelström de Fabrice Melquiot, l’histoire d’une jeune sourde de 14 ans.