Après avoir évoqué sa transition dans “Pour un temps sois peu”, l’artiste non-binaire plonge, avec “Je vis dans une maison qui n'existe pas”, au plus profond de la psyché et porte au plateau, dans un conte contemporain, le récit d’un personnage neuroatypique.
À Théâtre ouvert, dans L'Âge de détruire, les deux artistes donnent chair aux mots de l'autrice et invite à plonger dans la relation toxique entre une mère neurasthénique et une fille en quête de liberté.
À la Scala-Paris, après un beau succès public et critique à Théâtre Ouvert l’an dernier, Le Moment psychologique mis en scène par Alain Françon, revient sur les planches et donne à entendre les mots du jeune auteur.
Aux Quinconces du Mans, avant d’atterrir en mars à Théâtre ouvert, Pauline Peyrade et Justine Berthillot explorent la relation toxique entre une mère étouffante et sa fille placide.
À Théâtre ouvert, Louna Billa monte "Les Enchantements", texte qui a valu à la dramaturge d’être lauréate des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre.
À Théâtre ouvert, Sarah Delaby-Rochette s'empare de Gloria Gloria de Marcos Caramés Blanco, mais sa mise en scène pleine de trouvailles reste un peu sage.
À Théâtre Ouvert, dans le cadre du Festival Focus, Gaëlle Axelbrun met en espace son tout premier texte, "Requin velours".
![Zoé [et maintenant les vivants] de Théo Askolovitch © Christophe Raynaud de Lage](https://www.loeildolivier.fr/wp-content/uploads/2023/10/231004_RdL_0272-480x384.jpg)
Jusqu’au 21 octobre 2023, à Théâtre Ouvert, Théo Askolovitch explore, avec Zoé [maintenant les vivants], les liens familiaux lors du deuil d'un proche.
À Quelques jours de la première d'Oasis Love à Théâtre ouvert, Sonia Chiambretto se livre sur une création collective autour des violences policières.
Dans la petite salle du Théâtre Ouvert, Laurent Charpentier se met en scène dans Grand-Duc d'Alexandre Horréard.
