Au Théâtre Liberté à Toulon, scène nationale Châteauvallon-Liberté qu’il dirige, Charles Berling met en scène une pièce inédite en France du grand dramaturge suédois, Lars Norén.
Pour sa nouvelle création, l’autrice et metteuse en scène met en parallèle les destins croisés d’Antigone et d’une jeune fille confiée à l’Aide sociale à l’enfance. L’une garde le silence, l’autre hurle sa rage face à un monde d’adultes qui refusent catégoriquement d’écouter leurs souffrances.
Radio et théâtre ont longtemps fait bon ménage, mais c’était la première qui invitait l’autre dans ses studios pour faire entendre des pièces. Sous l’impulsion de Charles Berling, directeur de la scène nationale Châteauvallon Liberté, la politesse est renvoyée. Ce n’est que du bonheur.
En adaptant le roman à succès de Giuliano da Empoli, Roland Auzet livre un spectacle bancal sur la Russie, de la perestroïka à la mise en place d’un nouveau Tzar, Vladimir Poutine.
L’Opéra et le Théâtre national de Nice s'associent pour la création française du dernier ouvrage lyrique de Laurent Petitgirard. À la mise en scène, Muriel Mayette-Holtz aborde brillamment son premier opéra.
Pour sa dernière création en tant que directrice du TnBA, Catherine Marnas adapte le roman-fleuve de Stendhal. Loin des stéréotypes, elle signe un spectacle tout en épure qui fait la part belle à un Julien Sorel enfantin et troublant pris dans les rets de la passion et de l’ambition.
Au Théâtre National de Nice, qu’elle dirige, Muriel Mayette-Holtz s’empare de texte culte d’A.R. Gurney, «Love Letters», offrant ainsi à deux grands et beaux stradivarius, Brigitte Fossey et Jean Sorel, une magnifique partition de sentiments.
Au TNN, avant les Bouffes du Nord, Daniel San Pedro présente sa dernière création Andando [Lorca 1936], une évocation musicale du poète espagnol.
Face au silence assourdissant du gouvernement, Muriel Mayette-Holtz, directrice du TNN, écrit à la ministre de la Culture.
Au TNN, Linda Blanchet tente d'explorer l'étrange lien qui peut unir humains et robots.