Dans Au But de Thomas Bernhard, Dominique Valadié illumine magistralement la scène du Poche Montparnasse
Au Poche-Montparnasse, Stéphan Druet fait revivre Histoire d'un soldat.
Le temps d'un spectacle, Catherine Sauval se glisse dans la peau de Jules Renard, L'homme qui voulait être un arbre.
Le Poche Montparnasse se met à l'heure anglaise et nous invite à découvrir La Version Browning.
Alexis Moncorgé s'immerge dans Amok de Stefan Zweig au théâtre de Poche-Montparnasse.
Au théâtre de Poche-Montparnasse, Chloé Lambert installe une Médiation drôle, absurde et touchante.
Au théâtre du Poche-Montparnasse, Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps signent une Madame Bovary Déjantée qui nous invite dans une danse folle et onirique.
De son regard sensible, clinique, Florian Zeller scrute les éraflures, les blessures et les fêlures du couple. Sans complaisance, avec inquiétude et dureté, il dessine un monde sombre où le quotidien, la routine, le rapport à l’autre, sont autant d’épines qui égratignent, abîment l’amour, l’intimité, la complicité. De son écriture ciselée, concise, précise, il réinvente le sacro-saint trio théâtral – homme, femme, amant – lui ôtant sa puissance comique pour
Les mots jaillissent par flots ininterrompus, exprimant les angoisses de l’adolescent, ses colères, ses violences et ses interrogations face à un monde hostile qui se refuse à le comprendre. Ils brûlent, résonnent et bourdonnent. Ils prennent vie dans le corps et l’âme de William Mesguich qui incarne avec une passion dévorante la folie destructrice qui embrase l’esprit du jeune Flaubert. Captivé par le feu intense qui se dégage du comédien,
Quelle surprenante étrangeté que ce drame, drôle, cynique et tendre… Alternant fable contemporaine et thriller sans moralités définies, Les voisins de Michel Vinaver est une sorte d’ « ovni » théâtral à l’insolite et noire beauté, qui séduit par le soufre et l’ambiguïté qui se dégagent des rapports humains pervertis par l’argent. Fasciné par la présence rageuse et captivante de Patrick Catalifo et l‘inquiétante jovialité de Lionel Abelanski, on est entraîné avec