Pour sa dernière création en tant que directrice du TnBA, Catherine Marnas adapte le roman-fleuve de Stendhal. Loin des stéréotypes, elle signe un spectacle tout en épure qui fait la part belle à un Julien Sorel enfantin et troublant pris dans les rets de la passion et de l’ambition.
Au festival de Montpellier Danse, Nadia Beugré porte au plateau les trans d'Abidjan et leur prête une parole prophétique.
Des Amandiers à La Villette, Arthur Nauzyciel présente, 25 ans après sa création, sa première mise en scène, autour du Malade imaginaire.
Artiste associé de Points Communs à Cergy-Pontoise, Volmir Cordeiro creuse avec Abri son obsession pour les lieux, qu'il s'agisse d'endroits « refuge » ou d'endroits « monde ». Face à l’état de nos sociétés, aux violences générées par les tensions et les fractures qui apparaissent de toutes parts, il nous propose de nous reconnecter à l’essentiel : notre nature intérieure.
Aux Points Communs à Cergy, Mélissa Von Vépy présente "L'Aérien" avant de virevolter au Festival Spring sur les musiques de Stéphan Oliva.
Dans le cadre du temps fort Génération(s) 5 de Points communs – Nouvelle scène nationale Cergy-Pontoise / Val d’Oise, Anne Nguyen présente Héraclès sur la tête. Rencontre.
Au théâtre du Nord, dont il est le directeur depuis février 2021, le metteur en scène présente une vision crépusculaire de la comédie noire de Molière. Loin des stéréotypes du tombeur de ces dames, impie sans foi ni loi, David Bobée dresse le portrait du dernier représentant d’un masculinisme hors d’âge dont le piédestal vacille.
Toutes voiles dehors, après une année post-covid particulièrement compliquée pour les lieux de culture, Fériel Bakouri retrouve un bon rythme de croisière, qui lui permet de franchir une nouvelle étape pour l’évolution de la scène nationale et de mettre en œuvre son projet à destination des populations cergypontaines et valdoisiennes. Rencontre.
De Marseille au Théâtre 95 de Cergy, dans le cadre de l'ouverture de saison de Points Communs, le duo Voetvolk et leur troupe font danser les spectateurs jusqu'au bout de nuit.
À Montpellier Danse, Bouchra Ouizguen revisite les gestes du quotidien des marocaines pour en sublimer la banalité.
