Au cœur du Panthéon, la chorégraphe donne vie à un amoncellement de corps reliés entre eux par un fil invisible. Contraints à la lenteur, les sept interprètes livrent une performance moins âpre qu’on ne l’imaginait.
Au Panthéon, Yoann Bourgeois met les corps en déséquilibre dans La mécanique de l’histoire, une tentative d’approche d’un point de suspension.