En adaptant Stig Dagerman, la metteuse en scène dépeint la brutalité naissante d'un garçon de vingt ans après la mort de sa mère.
Accompagné d'une distribution brillante, le metteur en scène polonais fait sa première française à l'Odéon avec une parabole du monde de l'art qui aurait pu aller plus loin.
Alors que Les Émigrants, d’après Sebald, triomphe à l’Odéon, l’ouvrage écrit par sa collaboratrice Agnieszka Zgieb autour de sa précédente pièce invite à plonger dans le processus créatif du maître polonais.
Multipliant les expériences et se frottant à une pluralité des esthétiques, le comédien se révèle impressionnant de fragilité dans « La Réponse des hommes » de Tiphaine Raffier, ainsi que dans "Avant la terreur" de Macaigne.
À l’Odéon, après moults rebondissements, la dernière création du maître polonais voit enfin le jour et invite à plonger dans l’œuvre intime de W.G. Sebald.
À L'Odéon-Théâtre de l'Europe, Stéphane Braunswheig s'empare magistralement d'"Andromaque", l'un des plus noires tragédies de Racine.
Du CDN de Besançon à l'Odéon en passant par le TNS, Célie Pauthe et Claude Duparfait conjuguent leur talent pour faire entendre la langue de Bernhard.
Au CDN Besançon Franche-Comté, avant le TNS, Célie Pauthe et Claude Duparfait portent au plateau "Oui", un roman autobiographique de Bernhard.
Au TNB à Rennes, puis à l'Odéon en juin, Arthur Nauzyciel porte au plateau l'œuvre monstre de Jean Genet, "les Paravents".
À l'Odéon dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, Susanne Kennedy et Markus Selg nous invite à plonger dans la tête d'"Angela", une héroïne catatonique.