En adaptant la pièce maudite du dramaturge russe, considérée comme une œuvre majeure de la Russie communiste, Stéphane Varupenne signe une galerie de portraits grand-guignolesques et peine à en donner toute la dimension politique.
Aux Célestins - Théâtre de Lyon, le metteur en scène retrouve la plume d’Erdman dont il avait monté Le Suicidé en 2011.
Au TNP-Villeurbanne, Jean Bellorini monte Le Suicidé de Nicolaï Erdman d’après la traduction d’André Markowicz et signe un spectacle haut en couleurs, drôle autant que cruel.