Au TNS, le comédien présente sa première pièce, une sorte de voyage initiatique inachevé qu'il écrit, met en scène et réalise.
On va voir Pascal Rambert comme on attend un dîner de famille : en espérant que des vérités explosent. Mon Absente remet le couvert avec une distribution onze étoiles.
À la MC93, en partenariat avec Chaillot, Anne Teresa De Keersmaeker, accompagnée du pianiste Alain Franco, donne vie aux variations Goldberg de Bach.
Le théâtre Nanterre-Amandiers, en partenariat avec la MC93, accueille « France-fantôme ». Science-fictionnelle et jusqu'au-boutiste, cette pièce, créée en 2017, déplace le spectateur en le mettant face à un futur possible, sans visages.
À la MC93, Mélody Pini, sortie en 2019 de l’école du TNS, reprend Ce qu'il faut dire de Léonora Miano, mis en scène par Stanislas Nordey.
Au TNP-Villeurbanne, Jean Bellorini monte Le Suicidé de Nicolaï Erdman d’après la traduction d’André Markowicz et signe un spectacle haut en couleurs, drôle autant que cruel.
Dans « 我 是 谁? (Wǒ shì shéi) Qui je suis ? », Mylène Bonnet met en scène un échange au long cours entre une Française et une Chinoise séparées par les histoires nationales.
À L’Opéra de Rennes, Phia Ménard, revisite Les Enfants terribles de Philip Glass d’après le célèbre roman de Jean Cocteau.
À la MC93, Marie-Christine Soma porte au plateau la dernière nouvelle de 7, roman d’anticipation de Tristan Garcia. Avec habilité, elle signe un seul-en-scène haletant que porte avec maestria le solaire Pierre François Garel.
À la MC93, préférant la force des images au poids des mots, Romeo Castellucci esquisse une fresque brune d’une rare brutalité.