Portée par la mélodie lancinante d’India Song, par la mise en scène au cordeau de William Mesguich, l’interprétation admirable de Catherine Artigala, ce spectacle esy d’une facture remarquable.
Au TNP, 14 ans après sa création, la 538e sociétaire de la Comédie-Française se glisse à nouveau dans les mots de Duras et dans la mise en scène de Chéreau. Accompagnée sur ce chemin de mémoire par le chorégraphe Thierry Thieû Niang, elle habite la scène, fait sienne La Douleur de l’écrivaine et tutoie sensiblement l’âme humaine.
Du TNS au théâtre de la Ville, Alain Fromager impose son jeu intense, sa présence irradiante et sa voix de velours. Rencontre.
À La Colline-Théâtre national, Johanna Korthals Altes joue les imprudents, dans une mise en scène d'Isabel Lafon d'après les écrits de Marguerite Duras.
De la tempête au Théâtre 14, avant d’investir le plateau du Vieux-Colombier en juin prochain, Louise Vignaud est une jeune metteuse en scène fort occupée.
À la Colline-théâtre national, Margo, Setter Lemon, d'un an et demi, suit en compagnie de sa maitresse Isabelle Lafon les traces de Duras.
À Paris l'été, Marie Vialle s'inspire des entretiens radio de Duras pour questionner la jeunesse d'aujourd'hui.
Après avoir évoqué Duras au Printemps des Comédiens, Pierre-Félix Gravière s'attaque aux Short Stories de Carver au Théâtre de Sartrouville.
Au printemps des Comédiens, théâtre d'O, Isabelle Lafon invite à rencontrer Marguerite Duras, non l’auteure, mais l’intervieweuse.
Au Lucernaire, Mélanie Bernier et Dominique Pinon s’installent avec bonheur dans Le square de Marguerite Duras.