La comédienne Anne Consigny s’empare avec une belle « gourmandise » théâtrale du grand roman de Marguerite Duras, en centrant son adaptation autour de la figure maternelle.
En entendant une chorégraphe à l’enfance traumatique dire à la radio que Patti Smith lui avait sauvé la vie, la comédienne Fabienne Périneau se souvient que pour elle, ce fut Marguerite Duras. D'une plume fort bien stylée, elle replonge dans son passé.
Au Théâtre de la Reine Blanche, Barbara Chanut et sa Cie Sochin s'empare des entretiens de Duras avec Platini.
Au CCN de Tours, avant d’investir le studio de Micadanses, dans le cadre du festival Faits d’hiver, Thomas Lebrun se nourrit des mots, des pensées de Duras pour esquisser portraits en creux d’une femme aux mille facettes et d’un artiste libre.
À l’Athénée, après l’avoir présenté au TNP, Thierry Thieû Niang remonte avec Dominique Blanc, quatorze ans après sa création, La Douleur de Duras. retour sur une recréation.
Portée par la mélodie lancinante d’India Song, par la mise en scène au cordeau de William Mesguich, l’interprétation admirable de Catherine Artigala, ce spectacle esy d’une facture remarquable.
Au TNP, 14 ans après sa création, la 538e sociétaire de la Comédie-Française se glisse à nouveau dans les mots de Duras et dans la mise en scène de Chéreau. Accompagnée sur ce chemin de mémoire par le chorégraphe Thierry Thieû Niang, elle habite la scène, fait sienne La Douleur de l’écrivaine et tutoie sensiblement l’âme humaine.
Du TNS au théâtre de la Ville, Alain Fromager impose son jeu intense, sa présence irradiante et sa voix de velours. Rencontre.
À La Colline-Théâtre national, Johanna Korthals Altes joue les imprudents, dans une mise en scène d'Isabel Lafon d'après les écrits de Marguerite Duras.
De la tempête au Théâtre 14, avant d’investir le plateau du Vieux-Colombier en juin prochain, Louise Vignaud est une jeune metteuse en scène fort occupée.