À l'affiche de Lacrima de Caroline Guiela Nguyen au TNS du 24 septembre au 4 octobre, le comédien originaire d'Inde démontre avec une belle prestance qu'il est aussi à l'aise sur un plateau de cinéma que sur les planches d'un théâtre.
Au Festival d’Avignon, l’artiste à la tête du Théâtre National de Strasbourg présente sa dernière pièce à la rencontre de celles et ceux qui font de la haute-couture un art.
Accueillie au Printemps des Comédiens avant d’entamer une tournée française la saison prochaine, la metteuse en scène italienne présente sa dernière pièce au Théâtre Jean-Claude Carrière à Montpellier.
À Lyon, le capitaine de navire de ce très beau théâtre municipal dévoile sa saison 24-25. Audacieuse dans son éclectisme, passionnante par sa richesse, elle donne de quoi saliver aux curieux comme aux néophytes.
Pour l’ouverture de sa 38e édition, le festival de théâtre montpelliérain se place sous l’égide du dramaturge russe à travers deux de ses œuvres, "La Mouette" et "Platonov", dans des versions, revisitées ici entre tragicomédie almodovarienne et drame bourgeois chabrolien.
Lauréate du Prix jury et public du Festival Impatience en 2017, la première pièce du collectif Les Bâtards dorés revient sur le devant de la scène Aux Célestins – Théâtre de Lyon. Quelle claque !
Au Théâtre des Célestins de Lyon, Elemawusi Agbedjidji, avec La chute infinie des soleils, fait un impressionnant travail de mémoire.
Multipliant les expériences et se frottant à une pluralité des esthétiques, le comédien se révèle impressionnant de fragilité dans « La Réponse des hommes » de Tiphaine Raffier, ainsi que dans "Avant la terreur" de Macaigne.
Aux Célestins, avant d'investir la Tempête, Alexandre Zeff présente son adaptation opératique de Que le tigre sur toi se lamente d'Emilienne Malfatto.
Aux Célestins avant d'aller au Rond-Point, Céline Fuhrer et Jean-Luc Vincent présentent leur fable d'anticipation , "La femme n'existe plus".