Pour l’ouverture de sa 38e édition, le festival de théâtre montpelliérain se place sous l’égide du dramaturge russe à travers deux de ses œuvres, "La Mouette" et "Platonov", dans des versions, revisitées ici entre tragicomédie almodovarienne et drame bourgeois chabrolien.
Des Particules élémentaires au "Passé" et à Extinction, qu'il reprend pour quelques dates aux Théâtres de la ville du Luxembourg, en passant par Le Passé, l’artiste, fidèle depuis ses débuts au metteur en scène, habite le plateau et crève l’écran de sa présence intense et solaire.
Au Théâtre Sarah Bernhardt, L'artiste argentine poursuit le récit de sa vie dans un spectacle introspectif et débridé.
Au domaine d'O à Montpellier, avant d'investir le Théâtre de la Ville à Paris, Le metteur en scène italien présente sa version "huppertisée" de la célèbre tragédie.
Multipliant les expériences et se frottant à une pluralité des esthétiques, le comédien se révèle impressionnant de fragilité dans « La Réponse des hommes » de Tiphaine Raffier, ainsi que dans "Avant la terreur" de Macaigne.
Dans le cadre du Printemps des comédiens, Marie Lamachère monte avec la Bulle Bleue «Le songe d’une nuit d’été» et «La Tempête» de Shakespeare.
Au Printemps des Comédiens, Nikos Karathanos revisite le mythe de Prométhée et Mario Pensotti défie le temps.
À La Colline-Théâtre national, Johanna Korthals Altes joue les imprudents, dans une mise en scène d'Isabel Lafon d'après les écrits de Marguerite Duras.