Dans sa dernière pièce créée à la Quinzaine de la danse à la Filature à Mulhouse, Simon Feltz cible son exploration des liens entre langage verbal et langage corporel sur la rencontre amoureuse. Une chorégraphie polyphonique.
Bientôt en tournée, la nouvelle création de Camille Mutel, «Pourtant chacun tue ce qu’il aime», était présentée début avril dans la salle toute neuve du Carreau, à Forbach. La chorégraphe passionnée de Japon et formée au butô y dirige deux danseurs dans l'intervalle entre la bestialité pure et le geste cultivateur.