À Toulouse s’est achevée la neuvième édition du Festival dédié à la jeune création. Lancé en 2016 par Sébastien Bournac, alors tout nouveau directeur du Théâtre Sorano, la manifestation est devenue un incontournable automnal de l’art vivant.
Après avoir évoqué sa transition dans “Pour un temps sois peu”, l’artiste non-binaire plonge, avec “Je vis dans une maison qui n'existe pas”, au plus profond de la psyché et porte au plateau, dans un conte contemporain, le récit d’un personnage neuroatypique.
Au théâtre de Belleville, Laurène Marx fait de sa vie un stand-up, dans Pour un temps sois peu.
À Paris l'Été, les 19 et 20 juillet, dans le cadre atypique d'un parking faisant face au Théâtre au Fil de l'Eau à Pantin, Lena Paugam s'empare avec finesse de Pour un temps sois peu, un texte autobiographique dans lequel l'autrice Laurène Marx évoque la transition de genre et son après.