À l’occasion des Cosmologies que lui consacrent la Maison de la Danse de Lyon du 18 au 28 mars, l’actrice, autrice et chorégraphe britannico-rwandaise revient sur son parcours, évoque ses origines rwandaises et son goût pour la langue de Kae Tempest.
Dans le cadre d’un focus qui lui est consacré aux Célestins, Théâtre de Lyon, la chorégraphe basée à Sainte-Foy-lès-Lyon reprend sa dernière création, une œuvre engagée qui met en scène une jeunesse en quête de repères dans un monde ultra-connecté.
Invité à investir la Maison de la Danse à Lyon, dans le cadre des Cosmologies, le chorégraphe portugais fait danser le Ballet de Lorraine dans une folle et déjantée farandole.
Artiste touche-à-tout révélé au grand public par le film de Cédric Le Gallo « Les Crevettes paillettées », le comédien, chanteur et styliste francilien investit le restaurant de la Maison de la danse à Lyon pour y conter, dans un show déjanté, le roman de sa vie.
Pour sa première mise en scène de théâtre, la chorégraphe et chanteuse britannico-rwandaise traduit et adapte une pièce bouleversante de Kae Tempest sur l’univers carcéral, ses barrières et ses échappées belles.
Présenté dans le cadre des Premières parties de la Maison de la danse, ce duo à fleur de peau du chorégraphe irlandais d’origine nigériane évoque autant les corps en migration que la dure réalité du regard de l’autre.
Véritable tour du monde des danses urbaines actuelles, la nouvelle création du chorégraphe franco-sénégalais est un shoot d’énergie pure porté par onze « streetdancers » virtuoses.
À Palerme au Teatro Biondo, avant d’entamer une tournée en France et en Italie, qui débutera en janvier au Théâtre de la ville, Aurélien Bory donne vie, avec Invisibili, à l’une des plus fameuses fresques de la cité sicilienne, Le Triomphe de la mort. Transposant au temps présent les fléaux d’hier, il imagine une peinture dansée du monde entre extase et désillusion.
Au Corum-Opéra Berlioz, le chorégraphe à la tête du pavillon noir d’Aix-en-Provence présente un triptyque composé de deux pièces de répertoire et d’une création. En accord parfait avec la thématique de cette 43e édition du festival montpelliérain, Angelin Preljocaj propose un voyage à travers le temps au plus près de l’évolution son processus artistique.
À La Maison de la Danse de Lyon, Yuval Pick invite, avec FutureNow, ses quatre danseurs à porter au plateau leurs souvenirs.