Des Particules élémentaires au "Passé" et à Extinction, qu'il reprend pour quelques dates aux Théâtres de la ville du Luxembourg, en passant par Le Passé, l’artiste, fidèle depuis ses débuts au metteur en scène, habite le plateau et crève l’écran de sa présence intense et solaire.
Au Printemps des comédiens, Julien Gosselin et Laetitia Guédon portent au plateau deux visions de l’apocalypse à venir de nos sociétés.
Au théâtre Paris-Villette, dans le cadre de Paris l'été, Joseph Drouet reprend Le marteau et la faucille de Don DeLillo, mise en scène par Julien Gosselin.
À l’Odéon, après le TNS, Julien Gosselin fait son cinéma et s’empare de l’œuvre de Léonid Andréïev.
Au printemps des comédiens Joseph Drouet donne vie au texte de Don DeLillo sous la direction au cordeau de Julien Gosselin.
A la MC93, dans le cadre du Festival d'automne à Paris, Julien Gosselin reprend Le Père adapté d'un texte de Stéphane Chaillou.
A la Fabrica, Julien Gosselin plonge dans l'univers noir de Don DeLillo.
Au théâtre de Gennevilliers, Julien Gosselin met en scène 1993 avec les comédiens en herbe du TNS.
Les ateliers Berthier accueillent 2666, le spectacle-fleuve de Julien Gosselin, qui a fait sensation au dernier festival d'Avignon.