Conçu comme une robe Haute Couture, ce Saint Laurent, bien qu’ambitieux, a tout d’un patchwork mal cousu où les tissus s’assemblent avec audace mais surtout avec mauvais goût. Le synospis : 1967 – 1976. La rencontre de l’un des plus grands couturiers de tous les temps avec une décennie libre. Aucun des deux n’en sortira intact. La critique : Survendu et particulièrement attendu, le Saint Laurent de Bonello déçoit terriblement.