Poursuivant son aventure avec le Festival d'Avignon, le metteur en scène expérimentateur s'empare librement du classique de Cervantès avec une distribution haut de gamme, dans une adaptation fragile.
Le metteur en scène, qui a enchanté les spectateurs lors du dernier Festival d’Avignon par sa folle version du "Songe", se confronte, pour cette édition dédiée à la langue espagnole, à l'œuvre de Cervantès. Entretien dans les murs de la Maison Jean Vilar, à Avignon.
Son Théâtre permanent tient en haleine les amoureux du verbe, de l’analyse, de l’humour. L’homme qui veut « défaire les remparts et utiliser les pierres pour finir le pont » a initié cette année un nouveau compagnonnage avec le festival : présenter une pièce du répertoire choisie en fonction de la langue invitée de chaque édition. Cette fois : l’anglais, et donc Shakespeare…
En ouverture du Festival d’Automne à Paris,dès l'aube, Gwenaël Morin monte, à la Villette, trois tragédies antiques de Sophocle.