Au Studio Hebertot, Antonio Interlandi se glisse, avec malice dans la peau de la Mauvaise petit fille blonde de Pierre Notte.
Au Théâtre de la Reine Blanche, dans Exil Intérieur, Elisabeth Bouchaud retrace le parcours de Lise Meitner.
Après L’Avare et Les Fourberies de Scapin, le jeune et talentueux Tigran Mekhitarian poursuit, avec Dom Juan, son travail sur l’œuvre de Molière, et nous propose une relecture assez étonnante et même pertinente de ce grand classique.
Portée par la mélodie lancinante d’India Song, par la mise en scène au cordeau de William Mesguich, l’interprétation admirable de Catherine Artigala, ce spectacle esy d’une facture remarquable.
Dans Lalalangue, seule en scène, Frédérique Voruz évoque son enfance auprès d'une mère ogresse.
À l'Artistic théâtre, dès le 24 octobre, Marion Préité reprend Comédiens ! de Samuel Sené et Éric Chantelauze. Un succès critique et public.
Aux Célestins, avant de partir en tournée, Julien Rocha présente son adaptation de Surexpositions (Patrick Dewaere) de Marion Aubert.
Après avoir cartonnée cet été à Avignon, L’Invention de nos vies, pièce adaptée du roman éponyme de Karine Tuil, s’installe pour l’automne et l’hiver au Théâtre Rive Gauche.
Portrait de Caroline Rochefort, comédienne aux multiples talents qui rayonne dans Changer l'eau des fleurs au Théâtre Lepic.
Écrit tout spécialement pour Philippe Torreton et Vincent Garanger, Lazzi, objet théâtral non identifié de Fabrice Melquiot, est un petit chef-d’œuvre burlesque qui explore notre rapport au monde et surtout à l’amitié.