Révélation de cette 78e édition du Festival d’Avignon, l’artiste chilien invite à plonger dans son quotidien, de son enfance à aujourd’hui, au sein d'un pays en crise permanente.
Au Festival d’Avignon, la chorégraphe britannique Yinka Esi Grave brûle les planches en redonnant de la visibilité aux artistes africains qui ont marqué les débuts de cet art andalou.
À l’initiative du Festival d’Avignon et du Wiener Festwochen, le metteur en scène argentin se voit confier la “Pièce commune” de cette édition à destination de l’itinérance.
Pour sa première fois en France, l'artiste chilien présente "Reminiscencia", excursion archéologique menée à la souris dans les rues dématérialisées de Santiago.
Disséquant jusqu’à l’os la procédure de comparution immédiate, Lorraine de Sagazan et Guillaume Poix esquissent la fable noire et fantastique d’un système pénal et judiciaire qui a perdu toute humanité.
Poursuivant son aventure avec le Festival d'Avignon, le metteur en scène expérimentateur s'empare librement du classique de Cervantès avec une distribution haut de gamme, dans une adaptation fragile.
Présentant deux pièces pour sa première venue au Festival d'Avignon, l'artiste argentin dévoile un théâtre politique résolu à inverser les rapports de force.
Avec les étudiants en théâtre de la Manufacture – Haute École des arts de la scène de Lausanne, Fanny de Chaillé plonge dans les archives du festival et en revisite avec humour et fantaisie ses grands moments.
Au Festival d'Avignon, l'artiste varsovienne orchestre les voix d'un chœur de femmes ukrainiennes, biélorusses et polonaises touchées par la guerre dans un spectacle musical qui donne une forme à l'urgence.
Dirigés avec tendresse par Mohamed El Khatib, quatre délicieuses mamies et deux avenants papis narrent, sans tabou et avec un malin plaisir, leurs frasques à l’Ephad.