Programmé dans le cadre du festival Actoral à Marseille, le plasticien Théo Mercier imagine avec Skinless une fable au milieu des déchets, quelque part entre le post-appocalyptique et la quête de soi.
Présenté au Festival d'Automne avant un détour à Actoral, la deuxième création de la jeune chorégraphe franco-malgache émancipe les représentations diasporiques en ouvrant le champ à un beau quatuor d'interprètes.
En ouverture du Festival d’automne à Paris, dans le cadre sacré de l’Abbaye de Royaumont, le chorégraphe et le directeur artistique des Cris des Paris convient les spectateurs à un rituel inspiré des chants funéraires de la Renaissance.
Artiste fidèle du festival Montpellier Danse, le chorégraphe iranien y donne naissance cette année à sa dernière création, un délicat geste de liberté inspiré des célèbres contes persans.
L’artiste iranien fidèle de Montpellier Danse présente au studio Bagouet de l’Agora une libre adaptation du chef-d’œuvre de la littérature persane, Les Mille et une nuits.
En ouverture du Festival de Marseille, juste avant Montpellier Danse, la chorégraphe s’associe avec la jeune génération d’artistes sud-africains et fait pousser des fleurs chamarrées sur le sol aride de son pays, ravagé par la violence.
Après le Festival d'Automne, le comédien souvent associé à Sivadier reprend "Maîtres anciens" d'après Thomas Bernhard au Théâtre des 13 vents à Montpellier.
À La Villette, dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, le chorégraphe américain Trajal Harrell présentait "Maggie the Cat", une fête de la créativité pauvre.
Pour fêter les 20 ans de sa compagnie, Philippe Quesne reprend son spectacle mythique, "La mélancolie des dragons" au Centre Pompidou.
Au Rond-Point, après avoir enchanté la Bastille l'an passé, Jolente de Keersmaeker reprend le solo imaginé par Jérôme Bel, "Danse avec une actrice".