Sous les voutes de la salle ronde de la condition des soies, Laure Guillem fait vivre les héroïnes du Cœur cousu.
Véritable performance qui fera date, la rétrospective dédiée à Diego Velàzquez dans les ors du Grand Palais a quelque chose d’unique, de majeur. En dehors du Prado « of course », c’est la première fois qu’une exposition réunit en un même lieu autant de tableaux de ce génie de la peinture espagnole. La modernité de son œuvre fascine. La scénographie sobre, lapidaire, souligne les touches délicates, justes du pinceau et rend sans