Au théâtre Édouard VII, la comédie de l’anglais Alan Ayckbourn, adaptée par Marie-Julie Baup et mise en scène par Ladislas Chollat, met sens dessus dessous une histoire d’adultère menée par une distribution enlevée.
Au Théâtre Lepic, l'artiste, aux nombreux talents, en passe de devenir notre Woody Allen national, régale les zygomatiques avec sa nouvelle comédie, C'est pas facile d'être heureux quand on va mal.
A l'Essaïon, la comédie de David Friszman, "Radicale", aborde intelligemment et préventivement le cancer de la prostate.
À l'occasion des vingt ans de sa comédie culte, "J'aime beaucoup ce que vous faites", retour sur une grande aventure de théâtre avec le metteur en scène Xavier Letourneur.
Dans le bel écrin du Théâtre Michel, avec "Sacha contre Guitry (tout contre)", Sacha Danino revisite finement les rapports père et fils.
La comédie de Julien Ratel, mise en scène par Ludivine de Chastenet et Benjamin Gauthier, interprétée subtilement par un quatuor d’experts, surprend au début puis, entre rires et émotions, nous embarque complètement.
Au Théâtre Antoine, Jean-Louis Benoit met ingénieusement en scène Noémie Lvovsky et Yvan Attal dans "Vidéo Club" de Sébastien Thierry.
Régis Vlachos n’a pas son pareil pour aborder, à l’aide de son humour mordant, les sujets qui gratouillent là où ça démange.
Au théâtre des Carmes dans le festival Off d'Avignon, « Après coup » de Tadrina Hocking et Sandra Colombo est une belle comédie coup de poing.
Au Lucernaire, tout l'été, la comédie de Franck Le Hen nous rappelle ce qu'était "La p'tite débrouille" sous l'occupation.