Pour sa cinquième édition, le Festival des langues françaises, à Rouen, propose des lectures de textes contemporains venus des quatre coins de la francophonie. Certaines écritures se confirment et s'affirment, d'autres se laissent découvrir avec enthousiasme.
La compagnie Les Anges au Plafond présente une version forte impressionnante du Horla de Maupassant.
Au Quai à Angers, avant de s’envoler pour le TNS, Thomas Jolly chevauche brillamment Le Dragon d’Evgueni Scwhartz.
Au CDN de Rouen, Vincent Menjou-Cortès propose sa vision très personnelle et déjantée des neuf tragédies de Sénèque.
À l'Atelier de Paris puis au Théâtre 13, Olivier Martin-Salvan s'amuse à coeur-joie en passant avec virtuosité du dieu Pan à Ubu, roi du ring.
Au CDN de Normandie-Rouen, Glenn Marausse défend fin juin, Jamais je ne vieillirai de Jeanne Lazar, une évocation de Dustan et Arcan.
Aux plateaux Sauvages, après le CDN de Normandie-Rouen, Tünde Deak questionne l’image iconique de Frida Kalho.
En attendant la réouverture des lieux de culture, la comédienne Aymeline Alix a accepté de se prêter au jeu des instantanés.
En attente de pouvoir présenter au public son spectacle autobiographique Parpaing, Nicolas Petisoff s'est prêté au jeu des instantanés.
À Points communs en novembre, puis à la Tempête en février, Ahmed Madani reprend "Incandescences", sa création chorale autour des amours au cœur des cités.