Au théâtre national de Bretagne, Julie Duclos s’empare avec une froide épure de l’œuvre du dramaturge allemand et percute de plein fouet l’actualité en esquissant le portrait saisissant d’un peuple face à la montée insidieuse et inéluctable du nazisme.
Des productions qui électrisent le public, des déceptions et des splendeurs, le festival d'Aix-en-Provence mise sur l’audace et sacre encore une fois, le metteur en scène Simon McBurney.
Au Lucernaire, dans « Du Bonheur de donner », Ariane Ascaride fait résonner la parole de Bertolt Brecht.
Au Corum, dans le cadre de Montpellier Danse, Pontus Lidberg fait danser le Danish Dance Theatre sur un diptyque qui joue des contrastes jusqu’à l’antinomie.
À quelques jours de la reprise de son adaptation de la Noce de Brecht, au théâtre de l'Épée de Bois, Olivier Mellor ouvre les portes de son intimité artistique.
Au Centre culturel Jacques Tati d’Amiens, Olivier Mellor et sa Compagnie du Berger montent La Noce de Bertolt Brecht.
A la Scala-Paris, Claudia Stavisky, directrice du théâtre des Célestins à Lyon, s’empare sobrement de la pièce de Bertolt Brecht, l’ancre dans une intemporalité nécessaire pour dénoncer les obscurantismes d’hier, d’aujourd’hui, et offre à Philippe Torreton un rôle à sa démesure. Omniprésent, il est un Galilée plus vrai que nature, une lumière qui éclaire la pénombre ignorante. Il fait bien sombre dans l’antre padouane de Galileo Galilei (Philippe Torreton). Aux
A la Comédie-Française, Eric Ruf adapte La Vie de Galilée de bertolt Brecht.
Au studio Hébertot, pour deux représentations exceptionnelles, la Compagnie Frères d'art joue Jean la Chance de Bertolt Brecht.
Le Français dénonce une nouvelle fois la montée du nazisme en inscrivant La résistible ascension d'Arturo Ui de Bertolt Brecht au répertoire.