Après une année particulièrement éprouvante, Charles Berling rouvre au ublic Châteauvallon-Liberté, scène nationale.
Pour célébrer la réouverture du théâtre de Sartrouville, Sylvain Maurice directeur du lieu, propose de redécouvrir deux œuvres phares de son répertoire, deux monologues très différents, issus de sa collaboration étroite et synergique avec le comédiens Vincent Dissez, Réparer les vivants et Un jour, je reviendrai. Dialogue à bâtons rompus avec deux artistes habités. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Sylvain Maurice : On se connaît depuis longtemps. Je l’ai souvent vu joué au théâtre. Nous avons même déjà travaillé ensemble sur un Richard III, que j’ai monté en 2009 au nouveau théâtre de Besançon. Depuis, nous avons gardé des liens amicaux. Quand j’ai lu à sa
Pauline Bayle magnifie l’œuvre de Balzac, lui insuffle vie avec ingéniosité et profondeur. S’emparant à bras le corps du roman fleuve du célèbre auteur de la Comédie humaine, l’épurant jusqu’à l’os, elle signe une adaptation lumineuse de cette fresque magistrale que porte cinq comédiens virtuoses.
Après avoir brûlé les planches du TNN en mai dernier, Joséphine de Meaux fait sa rentrée théâtrale à la Scala-Paris, dès le 8 septembre.
Au Capitole, à Avignon, les Épis noirs revisitent sacrément l'Histoire de France, dans Allons Enfants !
À la manufacture, à Avignon, Emmanuelle Hiron se met à nu pour les beaux yeux de l'auteur et du metteur en scène David Gauchard.
À deux pas de la rue des Teinturiers, Anne Coubarbaye et Alexandre Mange sont à la tête du théâtre Artéphile à Avignon.
Dans la cour du Lycée Saint-Joseph, Anne-Cécile Vandalem présente la dernier opus de sa création démarrée en 2016 au Festival d'Avignon.
Au TNS, sous la direction de Stanislas Nordey, Cécile Brune s'empare des mots brûlants de Claudine Galea.
Du 23 juin au 10 juillet, La Filature présenteLes possédés d'illfuth de Yann Verburgh, seul-en-scène écrit pour Lionel Lingelser.
