L'autrice et metteuse en scène, entouré des merveilleux artistes de la compagnie de l’Oiseau-Mouche, présente au Théâtre de la Ville une relecture d’une grande force de "La Petite Sirène".
À la scène nationale de Cavaillon, la deuxième édition de cette manifestation qui donne à voir et à manger a réveillé les sens et les papilles des nombreux festivaliers.
À Nancy, l’excellentissime corps de ballet du CCN embrase l’opéra avec deux pièces courtes d’une efficacité redoutable : "Static Shot" de Maud Le Pladec et "Malòn", une création explosive de l'Argentine Ayelen Parolin.
Demain, la Comédie de Valence lance son nouveau temps fort, un moment de partage autour d’une création et de spectacles associés en raison d’une thématique commune. Rencontre avec la directrice adjointe du CDN valentinois.
À quelques jours du micro-festival, temps fort printanier de cette manifestation initiée par la compagnie des CriArts, Julie Louart, directrice artistique de l’événement, livre les grandes lignes de ce moment de partage qui fête ses quatre ans d’existence.
Dans son dernier récit, mis en scène par le Québécois Denis Marleau, l’écrivain donne voix à tous ceux, morts et vivants, qui ont vu leur destin se briser cette terrible nuit du 13 novembre 2015.
Avec "La réunification des deux Corées", l’auteur et metteur en scène, venu du théâtre public, revient pour la quatrième fois à Porte Saint-Martin. Et le public, à nouveau au rendez-vous, célèbre la réunification des deux théâtres.
À quelques jours des avant-premières de LACRIMA au TNS, qu’elle dirige depuis septembre dernier, et avant de s’envoler pour le Festival d’Avignon, l’autrice et metteuse en scène lève le voile sur l’intimité d’un secret bien gardé, celui de la confection de la robe de mariée d’une princesse anglaise.
À l’occasion de la troisième reprise de son seul-en-scène "Dans 5 heures", tiré des écrits de Jacques Fesch, au Théâtre de Belleville, le comédien dévoile son parcours étonnant et sa personnalité inspirée.
À l’Odéon-Théâtre de l’Europe, la comédienne reprend Jours de joie d’Arne Lygre dans une mise en scène de Stéphane Braunschweig. Singulière autant que discrète, elle irradie la scène de son jeu poétique un brin décalé, tout en vérité et humanité.