À la comédie de Colmar, Matthieu Cruciani, co-directeur du lieu, monte la célèbre tragédie de Racine et offre à la comédienne un rôle à sa fascinante démesure.
Au Théâtredelacité, Galin Stoev porte au plateau, avec la troupe du théâtre national de Sofia, la pièce fantasmagorique de l’autrice ukrainienne Sasha Denisova, écrite un an après l’invasion russe. Un uppercut drôle autant que cyniquement lucide.
Artiste associée de La Manufacture de Nancy, la metteuse en scène et marionnettiste adapte, en collaboration avec Nicolas Doutey, un des classiques du maitre de l’Absurde, Eugène Ionesco.
Pour sa 6e édition le Amiens Europe — Feminist Futures Festival de la MCA présente un éventail de propositions allant du portrait intimiste à la performance insolite.
Au théâtre de l’Atelier, la dernière pièce du dramaturge anglais, mise en scène par Mélanie Leray, fait flop, malgré la présence lumineuse d’Emmanuelle Bercot.
Pour sa 7e édition le temps fort nantais dédié à la danse contemporaine, fait le grand écart entre virtuosité et minimaliste, entre réalité et virtualité.
Au CentQuatre-Paris dans le cadre du festival les Singulier.es, Tamara Al Saadi présente sa nouvelle création, une petite forme participative à l’intensité sidérante.
Au théâtre Benno Besson d’Yverdon-les-Bains, Robert Cantarella adapte l’ultime pièce de Kleist, avec dans le rôle-titre le comédien révélé par la série Dix pour cent.