Au Théâtre 14, le comédien, metteur en scène et directeur du Théâtre Majestic – scène de Montereau s’attaque avec intelligence à ce délicat sujet d’actualité qu’est le suicide assisté. Un spectacle nécessaire !
En adaptant la pièce maudite du dramaturge russe, considérée comme une œuvre majeure de la Russie communiste, Stéphane Varupenne signe une galerie de portraits grand-guignolesques et peine à en donner toute la dimension politique.
Au Studio Marigny, sous la direction de Johanna Boyé, l’actrice franco-argentine, rare au théâtre, donne corps aux Gens de Bilbao naissent où ils veulent, un roman autobiographique qui la mène du Pays basque à Paris.
Transfuge du Birgit Ensemble, la pétillante et bretonnante artiste brosse trois soirs par semaine au Théâtre de la Pépinière le portrait espiègle et très « smart » d’Angela Merkel. Une révélation !
Le metteur en scène et réalisateur hongrois présente à l’Odéon-Berthier un drame familial hyperréaliste où les destins de trois générations de Juifs budapestois se confrontent à la mémoire de la Shoah.
Partant sur les traces de l’empereur déchu, en exil sur l’île d’Elbe, l’académicien entremêle fiction et réalité pour esquisser une galerie de portraits habilement ciselés.
Portée par l’actrice sarde Caterina Murino, la comédie vénitienne met les domestiques à l’honneur et donne aux femmes le beau rôle sans pour autant faire mouche.
Présenté dans le cadre des Premières parties de la Maison de la danse, ce duo à fleur de peau du chorégraphe irlandais d’origine nigériane évoque autant les corps en migration que la dure réalité du regard de l’autre.
Véritable tour du monde des danses urbaines actuelles, la nouvelle création du chorégraphe franco-sénégalais est un shoot d’énergie pure porté par onze « streetdancers » virtuoses.