Adapter un roman de Virginie Despentes, et tout particulière celui qui a obtenu le prix Renaudot en 2010, au théâtre est toujours un évènement. Sa plume provocatrice, haute en couleur, se prête aisément à la scène tant la force des images qui s’en dégagent offre une infinie possibilité de représentations. A trop respecter le texte, sans en extraire une
LireAu oui ! Festival à Barcelone, Anne Monfort donne vie au roman de Lydie Salvayre, Pas pleurer.
LireAu Studio de la Comédie-Française, Pauline Bayle adapte Chanson douce, le roman de Leïla Slimani.
LireA l'Odéon, Simon Stone signe une sitcom aux airs de tragédie élisabéthaine.
LireAu Tandem à Arras, Arnaud Anckaert rate son Shakespeare.
LireA la Comédie de Caen, Lucie Berelowitsch réinvente le célèbre conte russe L'Oiseau de Feu.
LireAu théâtre de l'Archipel à Perpignan, Roland Auzet donne la voix à une Hedda Gabler réinventée.
LireAu théâtre Libre, Peter Stein dirige Lambert Wilson dans Le Misanthrope.
LireJouer à Avignon pendant le festival OFF a un prix, qui n’a rien de menu. Tous les ans, de nombreuses compagnies se mettent en danger financièrement pour y être. Questionnant l’économie du spectacle vivant, Hugues Duchêne croque avec malice, fièvre, le temps d’un minuit show à la Scala-Paris, les conditions de plus en plus précaires qu’on impose aux artistes. Un pavé hilarant dans
LireA la pépinière Théâtre, Noémie de Lattre donne avec humour une leçon de féminisme pour les nul.le.s.
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