Avec le conte d’Andersen, La Reine des neiges, l’histoire oubliée, la Comédie-Française ouvre le bal des productions destinées à illuminer les fêtes de fin d’année.
Après L’Avare et Les Fourberies de Scapin, le jeune et talentueux Tigran Mekhitarian poursuit, avec Dom Juan, son travail sur l’œuvre de Molière, et nous propose une relecture assez étonnante et même pertinente de ce grand classique.
Portée par la mélodie lancinante d’India Song, par la mise en scène au cordeau de William Mesguich, l’interprétation admirable de Catherine Artigala, ce spectacle esy d’une facture remarquable.
Avec un texte poétique, volontairement déconstruit de toute narration linéaire, Stella Serfaty explore dans « L’épouvantaille », le champ des possibles d’un épouvantail accroché à son armature.
En s’emparant du roman d’Arno Bertina, Des châteaux qui brûlent, la metteuse en scène nous plonge dans les réalités d’un monde où les petits, tel des dindons de la farce, se font dévorer par les ogres du pouvoir.