Au Théâtre Lepic, l'artiste, aux nombreux talents, en passe de devenir notre Woody Allen national, régale les zygomatiques avec sa nouvelle comédie, C'est pas facile d'être heureux quand on va mal.
Avec son spectacle Pourquoi mon père ne m’a pas appris l’arabe ?, la jeune autrice-metteuse en scène franco-marocaine évoque, dans une autofiction rondement menée, l’intrusion du politique dans la sphère de l’intime et ses bouleversements.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Connu pour son sens de la vis comica, il montre l'étendue de son jeu dans Je m’appelle Asher Lev aux Béliers et signe avec Arthur Jugnot la comédie musicale Denver, le dernier dinosaure à la Renaissance.
Au Théâtre de Belleville, le metteur en scène, ancien co-directeur du théâtre 13 avec Colette Nucci, porte au plateau, de manière chorale, Ceux qui se sont évaporés.
Depuis maintenant plus de douze ans, tel le Beaujolais nouveau, le dernier cru de ce conteur sans pareil est attendu. Alors à la question : comment est-il ? La réponse est : un excellent millésime !
À la demande de l’administrateur du Français, Eric Ruf, Justine Heynemann met en scène et adapte avec sa complice Rachel Arditi, la célèbre bande dessinée de Pénélope Bagieu.
À Bonlieu, scène nationale d’Annecy, la Cie Brozzoni propose une admirable et très sensible « symphonie poétique, musicale et sonore » autour de L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Tel un regain, la nature sauvera le monde.
Retenez bien le nom de Sébastien Kheroufi. Avec sa première mise en scène, il fait merveilleusement résonner les mots de Peter Handke et rappelle qu’il faut toujours écouter les poètes.