L’Opéra et le Théâtre national de Nice s'associent pour la création française du dernier ouvrage lyrique de Laurent Petitgirard. À la mise en scène, Muriel Mayette-Holtz aborde brillamment son premier opéra.
Le décès de la comédienne, survenu ce 21 février, à ce bel âge de 101 ans, nous attriste. Car au-delà de l’icône, elle représentait une image de la femme, celle qui assumait la liberté de mordre la vie à pleines dents.
Aussi fin que pantagruélique, ce grand sociétaire honoraire de la Comédie-Française s’est éteint à l’âge de 93 ans, dans sa paisible retraite bretonne. Avec sa disparition, une page d'histoire se tourne.
Avec Looking for Jaurès, co-écrit avec Marie Sauvaneix, qui signe également la mise en scène, le comédien, compagnon de route de Guédiguian, propose, à travers l'art de l'acteur, une magnifique réflexion sur notre époque.
Au théâtre Édouard VII, la comédie de l’anglais Alan Ayckbourn, adaptée par Marie-Julie Baup et mise en scène par Ladislas Chollat, met sens dessus dessous une histoire d’adultère menée par une distribution enlevée.
À l’occasion de la reprise de sa mise en scène de Boxing Shadows de Timothy Daly à la Manufacture des Abbesses, la metteuse en scène raconte sa relation particulière avec le théâtre.
Aucun choix cornélien ne se pose devant cette version recentrée de ce chef-d’œuvre : la mise en scène de Frédérique Lazarini fait entendre avec force la passion contrariée entre Chimène et Rodrigue.
Dans la mise en scène virevoltante d’Olivier Solivérès, entouré d’une bande de jeunes brillants, Stéphane Freiss incarne le professeur Keating du Cercle des poètes disparus pour la première adaptation du film au théâtre.
C'est l'un des grands mythes de l’histoire du théâtre. Créée en 1956, remontée en 1967 avec Michel Bouquet, dans le rôle-titre, cette comédie grinçante signée Anouilh revient enfin sur le devant de la scène.