Entre autofiction, théâtre documentaire et road trip, Penda Diouf imagine un solo tout en maîtrise. Pour sa première mise en scène, l'autrice trace un lien entre le racisme, l’athlétisme et la colonisation allemande de la Namibie.
Au Théâtre 14, Lucie Berelowitsch ménage un espace dépouillé où la musique fait office d’architecture pour que la poésie du texte de Gaëlle Bien-Aimé résonne. Œuvre crépusculaire qui présente en miroir une relation amoureuse et l’histoire haïtienne.
Après Une jeunesse en été, Simon Roth affine son dispositif documentaire entre video, métadiscours et lip-sync pour sa nouvelle création à la MC93 de Bobigny. À travers une série d'entretiens s'esquisse le portrait d'un réfugié kurde et ses mille et unes vies.
Après Hostiando a M, Rebota Rebota y en cara explota, c'est à la violence étatique que Agnés Mateus et Quim Tarrida consacrent ce nouveau chapitre. Un spectacle aussi drôle qu'inconfortable.
Au Théâtre 13, à l'occasion du festival Impatience, Cécile Morelle présentait son premier spectacle autour de la place et la parole des femmes dans la ruralité.
Dans le cadre du Festival Impatience qui récompense le théâtre émergent, Youssouf Abi-Ayad a présenté une pièce adaptée des écrits de François Rabelais. Un voyage délirant, inventif et imagé malgré quelques ventres mous.
Au Théâtre de la Tempête, la dramaturge, comédienne et metteuse en scène présente l'une de ses dernières créations, une pièce collective dans laquelle un personnage haut en couleurs fait ses adieux.
Créée en 2019 au Jerk OFF à Paris et présentée actuellement au Théâtre Public de Montreuil, cette plongée dans la relation trouble entre l'autrice et le jeune étudiant de 38 ans son cadet touche au sensible et aux dynamiques de pouvoir.