Présentée à La Scala-Paris, cette adaptation glaciale du roman de Leïla Slimani dresse le portrait grinçant mais quelque peu convenu d’une femme malheureuse en ménage.
Après dix ans de service, l’administrateur de la Comédie-Française Éric Ruf tire sa révérence avec une mise en scène virtuose de la célèbre fresque de Paul Claudel.
À La Colline - Théâtre national, Amos Gitaï s’inspire du mythe de ce monstre mystique pour construire une parabole hantée par la persécution des Juifs.
Aux Bouffes du Nord, Judith Chemla est renversante dans ce monologue autour du procès de Jeanne d’Arc. Six siècles plus tard, le texte, qui dit en creux le contrôle des hommes sur le corps des femmes, n’a rien perdu de son actualité.
Au théâtre du Soleil, à Vincennes, cette jeune troupe pleine d’énergie s’est glissée dans l’univers balzacien : le résultat ne manque pas de rythme — ni d’humour ! —, mais oublie de représenter l’impitoyable cynisme des puissants, dénoncé dans son roman par l’écrivain.
Présenté dans le cadre du festival FARaway à la Comédie de Reims, ce seul en scène de l’artiste belge Michaël de Cock s’interroge avec drôlerie sur la capacité de l’art à changer le monde.
Sur la scène de La Machine du Moulin Rouge avant de se produire au Festival Premières fois de la Halle aux Grains à Blois, le collectif de performeurs multiplie les prestations musicales drolatiques et potaches, souvent inspirées par l’univers du cinéaste décédé il y a 35 ans.