Aux Amandiers de Nanterre, avant de partir sur les routes de France, le metteur en scène poursuit son exploration de l'œuvre tchekhovienne.
Au théâtre national de Bretagne, Julie Duclos s’empare avec une froide épure de l’œuvre du dramaturge allemand et percute de plein fouet l’actualité en esquissant le portrait saisissant d’un peuple face à la montée insidieuse et inéluctable du nazisme.
Programmé dans le cadre du festival Actoral à Marseille, le plasticien Théo Mercier imagine avec Skinless une fable au milieu des déchets, quelque part entre le post-appocalyptique et la quête de soi.
En fin connaisseur de l’œuvre de Marivaux, le metteur en scène expose habilement que derrière le marivaudage, se cache une critique de la société et des hommes qui la font.
Le grand metteur en scène polonais s'empare du personnage-clé de J. M. Coetzee dans une pièce philosophique mystérieuse et fascinante, vectrice d'un certain vertige formel.
Disséquant jusqu’à l’os la procédure de comparution immédiate, Lorraine de Sagazan et Guillaume Poix esquissent la fable noire et fantastique d’un système pénal et judiciaire qui a perdu toute humanité.
Poursuivant son aventure avec le Festival d'Avignon, le metteur en scène expérimentateur s'empare librement du classique de Cervantès avec une distribution haut de gamme, dans une adaptation fragile.
Dirigés avec tendresse par Mohamed El Khatib, quatre délicieuses mamies et deux avenants papis narrent, sans tabou et avec un malin plaisir, leurs frasques à l’Ephad.
À Avignon, l'Argentine Lola Arias nous immerge au plus près des désirs et des rêves d'un groupe d'ex-détenues cis et trans qui, après avoir vécu l’enfermement, ont fait le choix de la liberté et de la joie.
Au Chêne noir, le Théâtre les Pieds Nus présente sa version très colorée, un brin édulcorée mais fidèle de la comédie-ballet de Molière.