De son regard(s) ténébreux, le comédien et metteur en scène Brice Hillairet signe un poème de confinement tendre et lumineux.
S'interrogeant sur la crise sanitaire actuelle, Diastème a imaginé une pièce en acte, une pièce de confinement. Aimablement, il a accepté de nous la confier.
C'est au cours de mes promenades culturelles, de mes rencontres, que j'ai fait la connaissance de Garçon B.
Comme moi, vous avez vu qu’une foultitude de journaux de confinement apparaissent, phénomène prévisible s’il en est. Le jogging et l’écriture solitaire auront sans doute été les grands vainqueurs de nos retraites forcées. Cette floraison de chroniques quotidiennes, intimes, décalées, fanfaronnantes ou désespérées — j’en tiens une moi-même bien au secret dans les couches de silicium de mon portable — je suis loin d’en connaitre toute la palette, mes journées
Au fil des voyages, des spectacles, des rencontres se font, des amitiés naissent. Madame S est apparu un jour de novembre.
Avignon est un lieu de rencontre, d'échange. Garçon B y a fait ses gammes l'an passé et rêve d'y retourner.
Après la mise à l'arrêt des tournées, des projets, Anne Monfort livre un regard(s) triste, un peu, mais surtout plein d'espoir et de réflexion sur l'avenir.
Avignon n'aura pas lieu, ses rencontres impromptues non plus, l'occasion d'imaginer le portrait d'un acteur du spectacle vivant croisé là-bas.
Le danseur et chorégraphe Julien Derouault du Théâtre du Corps livre son regard(s) aiguisé sur l'art vivant en temps de pandémie.
Dans Regard(s), Nicolas Petitsoff de la 114 Cie livre ses pensées désordonnées et spontanées.