Troublante et poétique histoire que cette passion sombre et ravageuse d’une institutrice envers un de ses élèves de 5 ans doué pour la magie des mots. Le synopsis : Une institutrice décèle chez un enfant de 5 ans un don prodigieux pour la poésie. Subjuguée par ce petit garçon, elle décide de prendre soin de son talent, envers et contre tous. La Critique : Difficile à appréhender, ce second film
Gaudriole franco-autrichienne qui a du mal à décoller du plancher des vaches malgré un trio sympathique d’acteurs. Le synopsis : Trois amis gays, trentenaires névrosés, parisiens agités, perdus dans les montagnes autrichiennes. Entre sommets vertigineux et gouffres abyssaux, il est peut-être temps de faire le point sur leurs vies, leurs amours et leur amitié… La critique : Sur le papier, Boys like us a tout du film queer drôle et
Entre docu-fiction et comédie douce-amère, Hippocrate vous plonge dans une vision hyper-réaliste du monde hospitalier Synopsis : Benjamin va devenir un grand médecin, il en est certain. Mais pour son premier stage d’interne dans le service de son père, rien ne se passe comme prévu. La pratique se révèle plus rude que la théorie : la responsabilité est écrasante, son père est aux abonnés absents et son co-interne, Abdel, est
Portrait sans fard d’une Escort-girl de soixante ans exubérante, insouciante, énervante mais terriblement attachante… Le synopsis : Angélique a soixante ans. Elle aime encore la fête, elle aime encore les hommes. La nuit, pour gagner sa vie, elle les fait boire dans un cabaret à la frontière allemande. Avec le temps, les clients se font plus rares. Mais Michel, son habitué, est toujours amoureux d’elle. Un jour, il lui propose
Fable sombre sur le surendettement et la crise financière illuminée par l’incandescente Leïla Bekhti. Synopsis : Quand on est une mère de famille, en principe, on ne braque pas les banques. Mais par les temps qui courent, ça peut être une solution pour assurer l’avenir de son foyer, et ne pas renoncer à ses rêves. Même si jouer les voleuses peut vite devenir dangereux, et les mauvaises rencontres se transformer
Point de salut dans ce western douceâtre à l’esthétique soignée où la beauté des images se combine avec l’élégance rare et racée du couple Mikkelsen/Green. Le Synopsis : 1870, Amérique. Lorsque John tue le meurtrier de sa famille, il déclenche la fureur du chef de gang, Delarue. Trahi par sa communauté, lâche et corrompue, le paisible pionnier doit alors traquer seul les hors-la-loi. La critique : Il y a des
Douce évocation de la vie torturée de Watteau, manquant parfois de relief et d’émotion. L’argument : 1708. Mariée à Armand de Belle-Isle dont elle a deux enfants, Marquise rêve de devenir un peintre reconnu. Au cours d’une réception, elle tombe amoureuse d’un jeune artiste surdoué, fragile et irrésistible, Antoine Watteau. Ils s’aimeront à la folie. Il l’initiera aux fêtes galantes ; elle l’admirera et l’accompagnera jusqu’à sa mort prématurée, à
Laissez les mots devenir notes, et faites-vous bercer par la mélodieuse et poétique complainte d’une orpheline en quête de vie et de liberté…. L’argument : Cecilia, la narratrice, est orpheline. Elle a été abandonnée à sa naissance et recueillie par l’hospice de la Pietà, à Venise. Chaque jour, masquée et dérobée au regard du public, Cecilia joue du violon. Dans cet univers confiné et reclus, la musique est sa seule
Plonger en immersion totale dans l’œuvre riche et singulière de Martial Raysse est une expérience hors du commun qui ne laisse pas indifférent… Faites-vous votre propre opinion en allant découvrir cette rétrospective de grande qualité… Présentation : Du 14 mai au 22 septembre 2014, le Centre Georges Pompidou consacre un de ses halls d’exposition du 6e étage à l’artiste français de renommée internationale, Martial Raysse. Cette rétrospective rassemble une large
Dans l’intimité d’un couple qui se déchire en place publique, la fratrie Elkabetz signe un film qui oscille entre dureté, âpreté et humour… une réussite. Le synopsis : Viviane Amsalem demande le divorce depuis trois ans, et son mari, Elisha, le lui refuse. Or en Israël, seuls les Rabbins peuvent prononcer un mariage et sa dissolution, qui n’est elle-même possible qu’avec le plein consentement du mari. Sa froide obstination, la