Au théâtre de Belleville, Sophie Cusset s'intéresse au quotidien en EHPAD et signe un cabaret gériatrique épatant.
Dans le cadre des rencontres de printemps du Méta, Delphine Hecquet plonge dans l’univers carcéral et invite le public au Parloir.
À la Garance, Sandrine Roche présente CroiZades (jusqu'au trognon), une nouvelle création portée par une écriture dense et libertaire.
Au Théâtre de Sartrouville, Sylvain Maurice s’empare de Penthésilée, drame d’Heinrich von Kleist contant un épisode peu connu de la guerre de Troie.
À la Comédie de Valence, Tünde Deak tisse un récit intime autour de son singulier prénom et ses origines hongroises.
À l’Epée de Bois, puis aux Célestins -théâtre de Lyon, René Loyon adapte Et moi et le Silence de la grande dramaturge américaine, Naomi Wallace.
À la Tempête, Jean Bechetoille présente Rest and Watch, spectacle qui nous projette avec humour dans le monde d’après la pandémie.
À Cherbourg, après deux années d’interruption suite à la crise sanitaire, le Festival Spring prend son envol, en ce début mars.
Au TNS, Mathilde Delahaye inaugure le Hall Grüber avec un oratio singulier, vibrant où s’entremêlent les paroles d’anonymes confrontés à la solitude.
Au TNP, Aurélia Guillet monte Les Irresponsables d’Hermann Broch, une œuvre singulière qui questionne la conscience humaine, son incapacité à empêcher les drames à venir.