À la Villette, dans le cadre du Festival d’automne à Paris, Anne Teresa de Keersmaeker présente, en collaboration avec l’ensemble B’Rock, les six concertos brandebourgeois de Bach.
Le spectacle Slava's snowshow revient pour les fêtes de fin d'année, au Trianon de Paris.
À la Villette, Marcos Morau dézingue le mythe de la princesse endormie attendant gentiment le baiser de son prince. un spectacle à découvrir sur Arte.tv
À l’occasion des fêtes de fin d’années, le Châtelet propose avec la comédie musicale feel good mise en scène par Stephen Mear, un voyage direct et sans jet lag pour Broadway.
Au Studio Hébertot, Pierre Notte et Pauline Chagne, nous disent et chantent que Moi aussi je suis Barbara.
Au TNP-Villeurbanne, Jean Bellorini monte Le Suicidé de Nicolaï Erdman d’après la traduction d’André Markowicz et signe un spectacle haut en couleurs, drôle autant que cruel.
Au CDN de Sartrouville, dans le cadre du festival Impatiences, le collectif Mind The Gap dévoile J'aurais mieux fait d'utiliser une hache, une déconstruction théâtrale et ludique des films d'épouvante.
Au Paris-Villette, Justine Heynemann et Rachel Arditi adaptent Songe à la douceur, roman de Clémentine Beauvais et signent une comédie musicale et romantique tendre, drôle et joliment décalée.
Au CNSAD, l’auteur et metteur en scène normand, fondateur du K, présente « Le Rameau d’or », une fable épique spécialement écrite pour une partie des étudiants de troisième année. Revisitant les grands mythes antiques d’ici et d’ailleurs, il propose sa vision drôle et homérique de la descente aux enfers.
On attendait avec une certaine impatience cette Petite boutique des horreurs revue par ce duo de metteurs en scène à l’inventivité créatrice assez exceptionnelle. Avec eux, cette comédie musicale déjantée, où il est question d’une plante carnivore, devient un véritable enchantement.