À la Comédie des Champs-Élysées, le comédien et metteur en scène s’attaque magistralement au sulfureux chef d’œuvre de Choderlos de Laclos et signe une adaptation tout en modernité contenue et perversion suggérée.
Le studio de la Comédie-Française est un écrin qui permet de découvrir bien souvent des petites pépites. La pièce de Guy Zilberstein, tirée du roman d’Andrée Chedid, L’enfant multiple, en est une.
Au théâtre national de Bretagne, Julie Duclos s’empare avec une froide épure de l’œuvre du dramaturge allemand et percute de plein fouet l’actualité en esquissant le portrait saisissant d’un peuple face à la montée insidieuse et inéluctable du nazisme.
Programmé dans le cadre du festival Actoral à Marseille, le plasticien Théo Mercier imagine avec Skinless une fable au milieu des déchets, quelque part entre le post-appocalyptique et la quête de soi.
Présenté au Festival d'Automne avant un détour à Actoral, la deuxième création de la jeune chorégraphe franco-malgache émancipe les représentations diasporiques en ouvrant le champ à un beau quatuor d'interprètes.
En fin connaisseur de l’œuvre de Marivaux, le metteur en scène expose habilement que derrière le marivaudage, se cache une critique de la société et des hommes qui la font.
Au théâtre Sévelin 36, à Lausanne, le septième "dispositif" du chorégraphe suisse confronte le corps d'un danseur à un partenaire atypique : la fumée.
Associés aux Célestins à Lyon, les deux artistes y créent leur nouvelle pièce inspirée du destin hors du commun de Daisy et Violet Hilton.
Après des années de silence, un secret de famille explose. Mise en scène par Didier Brengarth, la pièce de Michel Marc Bouchard est un huis clos à six personnages tenu de main de maître par une distribution hors pair.
À Lyon, Les Célestins confient leur premier rendez-vous de la saison au metteur en scène et comédien Michel Raskine.