S’appuyant, sur le travail de documentation de l’historien François Kersaudy, La liste de Kersten, et sur le le roman de Kessel, Les mains du miracle, Antoine Nouel signe avec Deux mains, la liberté, une pièce de théâtre captivante.
Salle Richelieu, Thomas Ostermeier ouvre la saison en confrontant une nouvelle fois, la troupe de la Comédie-Française à l’œuvre du dramaturge anglais et fait entrer le Roi Lear au répertoire.
Après s’être interrogé sur l’Europe, Roland Auzet s’attaque, dans Adieu la mélancolie, à la Chine.
Dans le cadre du 22e festival Actoral, à Marseille, l'artiste suisso-espagnole La Ribot présente sa Pièce distinguée nº55 : Amore Mio, une pièce courte pour deux interprètes qui embrasse l'horizon dans un geste à la fois amoureux et critique.
Au TNB, Bruno Geslin et Pierre Maillet reprennent vingt ans après la création, Mes jambes si vous saviez, quelle fumée..., et signent un portrait irrévérencieux de l'artiste bordelais Pierre Molinier.
Avec la comédie d’André Roussin, Lorsque l’enfant paraît, Michel Fau vise juste et nous offre un spectacle de toute beauté, dans lequel Catherine Frot nous éblouit à nouveau.
Mis en scène par Thierry Harcourt, Bruno Salomone et Davy Sardou s'affrontent dans Au Scalpel d'Antoine Rault.
Au TNP, 14 ans après sa création, la 538e sociétaire de la Comédie-Française se glisse à nouveau dans les mots de Duras et dans la mise en scène de Chéreau. Accompagnée sur ce chemin de mémoire par le chorégraphe Thierry Thieû Niang, elle habite la scène, fait sienne La Douleur de l’écrivaine et tutoie sensiblement l’âme humaine.
À la Comédie de Valence, dont il est le directeur depuis janvier 2020, le metteur en scène ouvre la saison avec En travers de sa gorge, le dernier volet de sa trilogie fantastique. Entremêlant réalité surnaturelle, folie et ésotérisme, Marc Lainé tisse des récits de vie troublants, des épopées haletantes.
Au théâtre de l'Epée de Bois, le comédien et metteur en scène Jacques Martial fait résonner la langue d'Aimé Césaire.