Pour sa première mise en scène en tant que directeur de la Criée, Robin Renucci propose une version surprenante de "La Paix" d’Aristophane.
Au Théâtre de la Bastille, après une escale au Canal de Redon, Simon Gauchet présente "La Grande Marée", passionnante expédition scientifique et théâtrale aux abords de l'Atlantide.
À la Comédie de Valence, avant d'aller les Célestins et à la MC93, Ambre Kahan adapte "L'art de La joie", le roman féministe de Goliarda Sapienza.
Pour sa dernière création en tant que directrice du TnBA, Catherine Marnas s'empare du "Rouge et le noir" de Stendhal.
La cie FOUIC installe sa cabine téléphonique sur la scène du Théâtre Studio d’Alfortville dirigé par Christian Benedetti. Dans l’intimité de ce bel écrin, Allosaurus [même rue, même cabine], le conte musical et poétique de Jean-Christophe Dollé, résonne magnifiquement.
Au théâtre de la Tempête, Astrid Bayiha présente "M comme Médée", une évocation kaléidoscopique de la mythique princesse de Colchide.
Après Montpellier et Avignon, "Extinction", la dernière création de Julien Gosselin, pose ses valises cet automne à Valenciennes et à Paris.
L’heure des assassins de Julien Lefebvre est le troisième volet de ce qui tend à devenir une série policière théâtrale. C’est avec un réel plaisir que l’on retrouve, toujours au Lucernaire, les personnages d’Arthur Conan Doyle, de Bram Stoker et de George Bernard Shaw menant une enquête au cœur d’un théâtre londonien.
Variation autour du box-step, Untitled (Holding Horizon) d'Alex Baczyński-Jenkins compose à partir de peu mais ouvre grand l'imaginaire.
Avec "La Obra", le metteur en scène argentin Mariano Pensotti tisse le récit d'un projet prométhéen dans un faux « biodrama » où l'imposture humaine rencontre le mensonge du théâtre.