Le nouveau Daguerre est arrivé et c’est un excellent cru ! Son histoire de corons, où les gueules noires n’avaient pour se réchauffer que la fraternité, est remarquable.
Dans le cloître des Célestins, à Avignon, l’artiste helvético-espagnole lâche la bride aux conventions scéniques et propose une variation performative, hallucinée autant qu’hallucinante, autour de la vie de Jeanne de Castille.
Présentée en première française à Château Rouge–Scène conventionnée d’Annemasse et actuellement à l’affiche du Théâtre de la Ville, cette pièce dansée par huit talentueux interprètes de la compagnie Shechter II offre une vision contrastée de l’Angleterre. Un « je t’aime moi non plus » survolté.
« Qui som ? », titre facétieux et philosophique de la troupe menée d’un train d’enfer par la française Camille Decourtrye et le catalan Blaï Mateu Trias. Une bouffée de bonheur !
Mêlant comédiennes professionnelles et amatrices, Frédérique Lazarini met en scène la très belle pièce de Dominique Durvin et Hélène Prévost, donnant la parole aux femmes de 1914 et de 2024.
Au théâtre Actuel d’Avignon, la nouvelle comédie « vitaminante » de Gilles Dyrek se déguste sans modération.
De passage éclair à Paris, la chorégraphe espagnole donne a voir des corps monopolisés par le capital dans une performance froide mais généreuse.
Le metteur en scène et dramaturge donne la parole aux jeunes issus d'une grande école de théâtre à Lausanne. Un spectacle qui résonne bien dans le Off, cette grande fête théâtrale.
Artiste fidèle du festival Montpellier Danse, le chorégraphe iranien y donne naissance cette année à sa dernière création, un délicat geste de liberté inspiré des célèbres contes persans.
Carrière Boulbon, Tiago Rogrigues s’empare de la pièce d’Euripide et l’ancre dans le temps présent en la faisant résonner avec un drame d’aujourd’hui, celui d’une mère face à la maltraitance de son enfant.