La méthode Gaga traverse le palais Garnier à l'occasion de la troisième entrée du chorégraphe israélien dans le répertoire de l'institution parisienne.
Au théâtre Édouard VII, la comédie de l’anglais Alan Ayckbourn, adaptée par Marie-Julie Baup et mise en scène par Ladislas Chollat, met sens dessus dessous une histoire d’adultère menée par une distribution enlevée.
Aucun choix cornélien ne se pose devant cette version recentrée de ce chef-d’œuvre : la mise en scène de Frédérique Lazarini fait entendre avec force la passion contrariée entre Chimène et Rodrigue.
Au théâtre du Point du Jour, Angélique Clairand, metteuse en scène et co-directrice du lieu, invite Coumba Kane, journaliste au service Afrique du Monde, à remonter le fil des liens distendus qui unissent la France et les pays du Sahel.
Dans la mise en scène virevoltante d’Olivier Solivérès, entouré d’une bande de jeunes brillants, Stéphane Freiss incarne le professeur Keating du Cercle des poètes disparus pour la première adaptation du film au théâtre.
Après Elephant Man, le metteur en scène, directeur du Théâtre du Nord et l'ancien rappeur se réunissent pour une lecture engagée qui donne à voir les prégnances de la pensée coloniale.
C'est l'un des grands mythes de l’histoire du théâtre. Créée en 1956, remontée en 1967 avec Michel Bouquet, dans le rôle-titre, cette comédie grinçante signée Anouilh revient enfin sur le devant de la scène.
Dans sa nouvelle création labellisée Paris 2024 dans le cadre de l’Olympiade Culturelle, l’auteur et metteur en scène questionne la mémoire imprimée dans nos muscles, qui parfois pousse à nous dépasser.
Au Théâtre Lepic, l'artiste, aux nombreux talents, en passe de devenir notre Woody Allen national, régale les zygomatiques avec sa nouvelle comédie, C'est pas facile d'être heureux quand on va mal.
Une fois de plus dirigés au cordeau, les comédiens du Français se font muets pour exprimer les non-dits et rendre un hommage vibrant au cinéma d’Antonioni.