Au théâtre Rive Gauche, Anne bouvier incarne avec une belle intensité Armande Béjart, l'amante de Molière.
Au Ranelagh, Jean-Philippe Daguerre revisite le Dom Juan de Molière.
Le metteur en scène suisse, Dorian Rossel, s'empare de Laterna Magica, l'autobiographie d'Ingmar Bergman.
Avec Être là, Vincent Ecrepont invite à plonger dans l'univers des maisons de retraite.
Auréolé de quatre Molières, Adieu Monsieur Haffmann joue les prolongations au Théâtre Rive Gauche avant de filer au Festival d'Avignon.
A la Comédie Française, Ivo van Hove met en scène la tragédie des Atrides d'après deux textes d'Euripide.
Au Petit-Saint-Martin, Florence Muller invite au mariage de son fils aimé pour notre plus grand plaisir.
A Garnier, le ballet de l’Opéra national de Paris programme trois pièces du Nederlands Dans Theater, dont deux font leur entrée au répertoire. Il rend ainsi un bien bel hommage à l’un des fondateurs de la compagnie de danse moderne et contemporaine basée à la Haye Hans Van Manen, ainsi qu’au duo, Sol León et Paul Lightfoot, chorégraphes résidents de l’institution. Un moment suspendu, intense qui met en exergue la
Au Poche-Montparnasse, Jean-Louis Benoit adapte follement deux farces d'Anton Tchekhov.
A roubaix, Bernard Sobel monte, avec quinze jeunes, Sainte-Jeanne des abattoirs de Brecht.