A Toulouse, Galin Stoev adapte La double inconstance de Marivaux.
Au théâtredelaCité à Toulouse, Jonathan Châtel signe un conte singulier, cosmique.
Au TNN, Linda Blanchet tente d'explorer l'étrange lien qui peut unir humains et robots.
Au Grand T, Olivier Letellier continue son travail théâtral pour plus de tolérance.
Au théâtre du Soleil, Simon Abkarian enflamme la tragédie des Atrides.
Au Lucernaire, Jalie Barcilon évoque la fureur de l'adolescence.
Le comédien, transfuge du Français, évoque l'univers singulier du compositeur honfleurais dans la pièce surréaliste de Laetitia Gonzalbes.
A la Pépinière Théâtre, Agatha Christie mène l'enquête.
Sans chercher à le singer, l’imiter, l’élève d’Aboville se glisse dans la peau du maître Bouquet. Reprenant les mots savoureux que le comédien a échangés avec Charles Berling, à l’occasion du tournage en 2001 de Comment j’ai tué mon père d’Anne Fontaine, le spectacle esquisse le portrait impressionniste d’un homme rare, vrai, qui manipule avec virtuosité l’autodérision. Un bijou de tendresse et de malice.